Présentation des membres de la CEAD

En Octobre 2022, nous avons lancé la Convention Etudiante de l’Alimentation Durable. Ce projet réunit un panel de 40 étudiant.e.s qui vont ensemble construire une série de propositions concrètes sur notre système alimentaire à destination des député.e.s européen.ne.s. Les membres se rassemblent, dialoguent, débattent et sont formé.es par des jeunes expert.e.s aux grands enjeux des systèmes alimentaires et agricoles et au fonctionnement des institutions européennes afin de créer des propositions. Vous découvrirez dans cet article 6 étudiant.e.s membres de la CEAD.

Eloïse 

Eloïse est une étudiante de 20 ans en Licence Professionnelle Gestion Agricole des Espaces Naturels Ruraux (GENA) à Florac en Lozère. Elle a obtenu le Bac Sciences et techniques de l’Agronomie et du Vivant (STAV) option agroalimentaire. Elle vit et étudie à Florac.

“Je suis très contente de pouvoir participer à la CEAD car elle va me permettre de rencontrer d’autres étudiants ainsi que des experts, des associations, etc avec lesquels nous pourrons échanger et nous enrichir des compétences de chacun. J’espère qu’elle me fera grandir dans mes réflexions. 

Je me suis engagé dans ce projet car le sujet de l’alimentation durable m’intéresse depuis de nombreuses années et j’espère enrichir mes compétences sur le sujet tout en faisant avancer les choses à travers les propositions que nous pourrons présenter aux délégués Européen.” énonce Eloïse à l’approche du premier week-end de la CEAD

Méganne

Étudiante en troisième année de Psychologie, Mégane, 20 ans, habite à Brest (29). Elle est une élue étudiante et est dans les associations étudiantes depuis maintenant 2 ans. Depuis son plus jeune âge, Méganne est sensibilisée aux questions de la précarité et de l’alimentation concernant la population estudiantine, ainsi elle a eu l’envie de s’investir davantage sur cet enjeu politique qu’est l’alimentation à travers la CEAD. Son envie d’être formé est l’une de ses caractéristiques principales. 

Méganne nous fait part de ses premier ressentis : “Savoir que je serais formé par des expert.e.s de ce sujet m’enchante, j’attends de cette convention principalement une nouvelle expérience,  une occasion d’apprendre des choses , de découvrir de nouvelles personnes et de comprendre des enjeux qui ne concernent pas seulement mon territoire.  

J’attends aussi que cette convention soit utile dans le futurs et qu’on en sorte fort.e.s de proposition en 2024.”

Cilya

A l’âge de 18ans, Cilya est étudiante en première année de licence d’économie à Paris 1. Elle habite en région parisienne depuis quelques mois mais est originaire de l’Oise dans les Hauts-de-France. 

Nous sommes dans un monde où nous faisons de plus en plus attention à notre alimentation de sa production à sa consommation et il est donc pour elle important d’avoir en tête les enjeux et les actions que nous pouvons mettre en place pour sans cesse améliorer notre mode de consommation, chose que le CEAD permettra d’acquérir.

“J’ai décidé de m’engager dans le projet de la CEAD afin d’être plus consciente des différents points qui entourent l’alimentation, des législations aux différents modes de consommations alternatifs.” nous confie Cilya 

 

Mathis

Mathis a 18 ans et est actuellement en deuxième année de droit à l’UPPA, au campus de Bayonne. Il habite dans le Sud-Ouest de la France, sur la côte basquo-landaise à Tarnos. Ses premières attentes concernant la CEAD sont d’abord d’apprendre, d’acquérir des connaissances sur la question de l’alimentation durable, de l’agriculture et de son système en France et en Europe, et que ses connaissances viennent renforcer ses convictions déjà existantes sur ces thématiques.

“J’ai souhaité m’impliquer sur le projet de la CEAD dans la volonté de construire des propositions concrètes qui seront soumises à nos décideurs politiques, dans le but de les convaincre que nous devons trouver une alternative à notre façon de consommer et de produire, qui soit plus respectueuses de l’environnement et des droits humains (enjeux de santé pour les consommateurs, juste rémunération des agriculteurs, respect de l’environnement et des animaux, etc…)” nous explique Mathis

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